LA PARTICRATIE LANCE UNE ENIEME ATTAQUE RIDICULE CONTRE LA FONCTION ROYALE – PARTICRATIE LANCEERT ZOVEELSTE BELACHELIJKE AANVAL OP KONINKLIJKE FUNCTIE

Nous y sommes habitués: tous les quelques mois, la particratie attaque la fonction royale. Certains pensent que c’est le résultat d’«incidents» – réels ou perçus – autour de la cour. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Même le couronnement de Guillaume-Alexandre aux Pays-Bas le 30 avril dernier était apparemment une occasion de plus de lancer une nouvelle attaque sans fondement, lâche et frontale contre la fonction royale.

We worden eraan gewoon: om de zoveel maanden valt de particratie de Koninklijke functie aan. Sommigen menen dat dit het gevolg is van – echte of vermeende – “incidenten” rondom het Hof. Niets is echter minder waar. Zelfs de kroning van Wllem-Alexander in Nederland op 30 april ll. was blijkbaar opnieuw een gelegenheid om een zoveelste ongefundeerde, laffe en frontale aanval tegen de koninklijke functie te lanceren.

MONICA DE CONINCK (SP.A) HEEFT HET BEGREPEN – MONICA DE CONINCK (SP.A) L’A COMPRIS

Iedere Belg die van België houdt en een gemiddeld verstand heeft, heeft ondertussen begrepen dat de zesde staatshervorming en bij uitbreiding het hele taalfederalisme in geen enkel opzicht deugen. Nu beginnen ook de traditionele politici dit stilaan te begrijpen, althans Monica De Coninck, federaal minister van Werk (SP.a).

Chaque Belge qui aime la Belgique et qui est pourvu d’une intelligence normale a entretemps compris que la sixième réforme de l’Etat et par extension tout le fédéralisme linguistique ne valent absolument rien. Maintenant, c’est au tour des politiciens traditionnels de passer au stade de la compréhension, ce qui est déjà le cas pour Monica De Coninck, la ministre fédérale de l’Emploi (SP.a).

REFORME DE L’ETAT (3): LE CONTROLE DE LA DISPONIBILITE DES CHOMEURS – STAATSHERVORMING (3): DE ARBEIDSMARKTCONTROLE

Dans notre série sur la sixième “réforme” de l’Etat, nous consacrons cet article à une compétence partielle qui se trouve sur la liste des « scindeurs »: le contrôle de la disponibilité des chômeurs. Au lieu de simplifier le système – ce qui devrait quand même être le but d’un Etat de droit efficace – la particratie antibelge ne fait que rendre les choses plus compliquées.

Dans notre série sur la sixième “réforme” de l’Etat, nous consacrons cet article à une compétence partielle qui se trouve sur la liste des « scindeurs »: le contrôle de la disponibilité des chômeurs. Au lieu de simplifier le système – ce qui devrait quand même être le but d’un Etat de droit efficace – la particratie antibelge ne fait que rendre les choses plus compliquées.

LE FOLKLORE DE HAPPART – DE FOLKLORE VAN HAPPART

Le 2 avril 2013, José Happart (PS) eut l’occasion de s’exprimer dans les médias au sujet de l’avenir de la Belgique. Il se prononça en faveur d’une confédération, constituée de trois régions autonomes.

Op 2 april 2013 mocht José Happart (PS) in de media zijn toekomstvisie over België verkondigen. Hij verklaarde zich voorstander van een confederatie bestaande uit drie autonome gewesten.

BEGROTING EN FEDERALISME: DE ECHTE VERSPILLING WORDT NOG STEEDS NIET AANGEPAKT – BUDGET ET FEDERALISME: LE VRAI GASPILLAGE N’EST TOUJOURS PAS SUPPRIME

Op 30 maart 2013 bereikte de regering een akkoord over de begrotingscontrole. Initieel zou ze op zoek gaan naar 2,5 miljard euro. Zelfs op die manier zou er geen begroting in evenwicht komen, maar zou het tekort op de begroting tot 2,15% van het BBP beperkt blijven. De Europese Commissie gaf echter op 25 maart jl. toestemming om die begrotingsnorm te lossen in ruil voor “structurele maatregelen”. Uitendelijk bedraagt het tekort 2,46%, maar structurele maatregelen blijven uit.

Le 30 mars 2013, le gouvernement a conclu un accord sur le contrôle budgétaire. Au départ, il fallait trouver 2,5 milliards d’euros. Même dans ce cas, le budget ne serait pas en équilibre, mais le déficit budgétaire serait limité à 2,15% du PIB. Toutefois, le 25 mars 2013, la Commission européenne a autorisé la Belgique de s’écarter de la règle budgétaire en échange de “mesures structurelles”. Finalement, le déficit s’élève à 2,46%, mais des mesures structurelles sont absentes.